Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Olivier, bonus track...(fin)

n641508829_1634842_6553490.jpgNous avons dû tourner en rond, Olivier et moi. Nous finissons par nous poser dans un café presque vide et sans charme près de la station Arts et Métiers. Une télé diffuse des clips volume maximum et un groupe de Coréens rie et parle aussi fort que possible pour dompter le bruit de fond des Kylie Minogue, Britney Spears ou Lady Gaga (pas facile mais pas impossible apparemment). Cannes, c'est loin. Des rêves de gloire ? La réponse vient spontanément. Pas de trace d'ironie. Pas de soupçon d'insincérité  : "Ha oui carrément".

Et ce prolongement : "D'ailleurs je me vois bien en rock star !!". Jim Morrisson, par exemple... Olivier n'a plus 17 ans, il en a 29 mais on dirait que ces rêves, ils les a maintenant.  

 

 

 (photo Nicolas Dauphin)

 

 

La rock star, idole rebelle, romantique, anar... on peut la voir dans sa pièce. une pièce qui règle quelques comptes. Mais sans méchanceté. "Je n'ai pas envie d'agresser les gens. C'est un peut-être un défaut que j'ai !? J'ai peut-être tendance à fuir les conflits".

Il contourne les obstacles ?

En tout cas il a au moins une fois transcendé un coup du sort.

Il y a quelques années, une étudiante larguait son petit copain de Sciences Po pour un autre. Les armes n'étaient pas égales. L'autre lui offrait du rêve, pas des idées générales : il avait un bon gros camion. Je ne suis pas sûr que cela ferait rêver toutes les filles mais elle oui. En tout cas selon le science potard. Alors il décida lui aussi d'offrir du rêve. Il décida lui aussi de vendre du rêve. Il voulut être reconnu. Il savait qu'il possédait le don d'écrire. Et s'est tourné vers le théâtre. 

fin début

 

Les commentaires sont fermés.