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mexicaine

  • A 13h 52, j'ai mangé des haricots et un steack haché

    Passionnant non ?

    Les blogs me font parfois un peu peur. C'est pour cela que, même si je les ai beaucoup visités, j'ai mis un peu de temps à franchir le Rubicon. Trop de questions... Mais qu'est-ce que je dis ?? Pour qui me prends-je ?? Mais qu'est-ce que vous faites ici ?? Et en 2010 je fête la troisième visite de mon blog ?

    Une envie est la plus forte : dans mon métier de journaliste notamment, on rencontre des gens qui méritent d'être connus, qui ont quelque chose à nous dire, même à leur insu. Ce blog a failli s'intituler "pas si vite !". Simplement parce que je voulais (re)prendre du temps avec ces personnes que je connais un peu ou beaucoup ou quasiment pas. On s'arrête. On prend le temps de parler de l'être humain. Attention je vous préviens : la sélection est totalement arbitraire. Et je m'écarterai parfois de l'objet initial. On reste lié à l'actualité au départ mais je ne vais vous bassiner avec la grippe A H1N1 ou grippe Mexicaine ou grippe porcine ou comme on voudra... Il y a d'autres endroits pour cela.

    J'ai envie de tirer des portraits. Le vôtre peut-être. Attention, j'ai déjà ma liste... Et si au final tout cela peut ressembler à une ébauche d'un portrait plus grand...

    Peut-être n'aurais qu'un seul visiteur au final. Mais finalement, j'ai de l'espoir. Il y a quelque jours je tape sur un moteur de recherche le nom de l'un de mes grands-oncles, André Chênebenoit, co-fondateur et rédacteur en chef du quotidien le Monde. Et mon moteur trouve trop peu de choses à mon goût. Ha ! si.. une citation :

    « Nous avons ce qu’il faut ; l’amour du métier, le goût d’une tâche commune, une estime réciproque. Cela fait une bonne équipe. La réussite –osons sans aucune fausse modestie écrire le mot– nous savons qu’il faut chaque jour la mériter. »

    Rien à voir, a priori, avec l'objet de ce blog. Sauf que cette phrase est citée par un inspecteur d'académie sur le site de l'Education Nationale en Polynésie. Alors à mon modeste niveau, je peux espérer qu'un jour quelqu'un, quelque part...

    Sur ce, je vous laisse, je dois réchauffer mon steak.